Ema Fresny spécialiste de la scolarité positive
Je voulais vous présenter un site très intéressant,
celui d’Ema Fresny.
Coach spécialisé dans la « scolarité positive », elle accompagne les enseignants et les parents, parfois démunis, face à une société et des élèves en pleine mutation. Les lignes ont bougé, c’est indéniable. Les principes de l'école traditionnelle ne sont plus adaptés.
Aujourd’hui, de nouveaux paradigmes commencent à remplacer une organisation, forgée au fil des siècles, qui semblait inébranlable. Le monde a changé. Les préoccupations, les peurs, les responsabilités ont évolué.
Les élèves ont de plus en plus de mal à croire dans l'institution. Les parents voudraient y croire, mais s'interrogent.
Les professeurs se retrouvent, de plus en plus, dans un isolement insupportable. Les mœurs « scolaires » n’autorisant pas le fait de parler des difficultés ou des doutes considérés comme des faiblesses, voir des indicateurs d’incompétence.
L’institution, avec le temps, a créé une fracture entre les « opérationnels » qui sont face aux élèves et les « pédagogues » enfermés dans leurs bureaux et parfois éloignés des réalités.
La conséquence de ces évolutions entraine, chacun des trois acteurs de la réussite scolaire à savoir : les élèves, les parents et les professeurs, à rejeter sur les autres les responsabilités de l’échec.
Coach spécialisé dans la « scolarité positive », elle accompagne les enseignants et les parents, parfois démunis, face à une société et des élèves en pleine mutation. Les lignes ont bougé, c’est indéniable. Les principes de l'école traditionnelle ne sont plus adaptés.
Aujourd’hui, de nouveaux paradigmes commencent à remplacer une organisation, forgée au fil des siècles, qui semblait inébranlable. Le monde a changé. Les préoccupations, les peurs, les responsabilités ont évolué.
Les élèves ont de plus en plus de mal à croire dans l'institution. Les parents voudraient y croire, mais s'interrogent.
Les professeurs se retrouvent, de plus en plus, dans un isolement insupportable. Les mœurs « scolaires » n’autorisant pas le fait de parler des difficultés ou des doutes considérés comme des faiblesses, voir des indicateurs d’incompétence.
L’institution, avec le temps, a créé une fracture entre les « opérationnels » qui sont face aux élèves et les « pédagogues » enfermés dans leurs bureaux et parfois éloignés des réalités.
La conséquence de ces évolutions entraine, chacun des trois acteurs de la réussite scolaire à savoir : les élèves, les parents et les professeurs, à rejeter sur les autres les responsabilités de l’échec.
Les élèves pensent que les professeurs sont
incompétents et que leurs parents ne se rendent pas compte de la complexité de
leurs vies.
Les parents sont persuadés que, si leurs enfants ne
réussissent pas, c’est parce qu’ils ne travaillent pas assez et passent trop de
temps devant la télévision ou la console de jeu. Quant aux professeurs, s’ils
faisaient bien leur métier, les élèves auraient de bonnes notes.
Pour les professeurs, les parents sont démissionnaires
et si les enfants ne suivent pas c’est qu’ils n’ont pas les capacités ou ne
souhaitent pas travailler.
En un mot, chacun voit la paille dans l’œil de l’autre
et ne remet pas en cause son propre comportement. Pourtant, l’essentiel, est de
trouver comment, « ensemble »,
nous pouvons améliorer les choses. Un triptyque, non pas d’opposition mais de
cohésion doit se mettre en place. Chacun modifiant, même très peu, ses
comportements, va permettre d’enclencher une spirale du succès qui va apporter
aux élèves la réussite, aux professeurs la satisfaction du travail bien fait et
aux parents une sérénité sur le plan scolaire.
Au-delà, de ses compétences de Coach-conseil, Ema
Fresny, crée un véritable laboratoire. Grâce à son écoute bienveillante des
problématiques des parents et des enseignants, grâce à son action de veille
auprès des établissements scolaires, elle recherche les solutions efficaces.
Puis, les formalise dans son blog, au travers de son coaching ou dans ses
ateliers et conférences, pour que chacun puisse trouver « la »
solution qui lui correspond.
La tâche
peut sembler immense, voir même utopique. C’est certain, mais Ema Fresny me
fait penser au colibri de la légende amérindienne. Cette histoire raconte qu’un
petit colibri se démenait seul pour éteindre un incendie de forêt goutte après
goutte. Les autres animaux, paralysés par la peur, voyaient arriver vers eux
les flammes de la mort. L’un d’eux dit alors
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